Dazibao

Trash Raï

Après 10 ans d’acti

vité au service du rock, mais par manque de succès, le groupe Dazibao jette l’éponge dans l’indifférence générale. Trop de galères et surtout au bout de 10 ans, encore les même problèmes, comme celui de faire des concerts dans des conditions précaire, le manque de moyen et la vie familiale de chacun auront fini par user le groupe. Entre 1983 et 1993 depuis Paris, Dazibao a réalisé 3 magnifiques albums et des EP’s sorties sur les labels New-Wave, V.I.S.A. et Zélig (tous réédité -avec des inédits-dans un coffret métallique par Infrastition). Leur style musical était (et est toujours !) atypique dans le paysage « rock en France ». Les chansons étaient écrites en français, anglais et arabe. Jamil Saïarh le chanteur est d’origine marocaine. Cette couleur arabe donnait un son atypique au groupe. Leur musique était un savant mélange d’after punk et de rock new-wave très habité. Comme si l’on mélangeait ensemble les Stooges/Tuxedomoon/Minimal Compact.

Malgré la réédition des albums, il n’y aura pas de reformation, donc pas de concerts (et là c’est dommage car sur scène ils sont excellent), n’y de disque en vu. Jamil Saïarh (chant) et Pierre Biss (au synthé jusqu’en 1990) ont eu la gentillesse de répondre par mail à nos questions

.

Vous revenez dans  l’actualité avec la sortie du très joli coffret en métal qui regroupe tous vos travaux. Quel a été votre rôle dans la conception de ce bel objet ?

Jamil Saïarh : Nous nous sommes occupés de toute la partie récupération des bandes, contact avec les différents labels et autres ayants droits. Puis le graphisme et la conception de l’objet.

Pierre Biss : Pratiquement aucun rôle. J’ai juste été informé et ai dit oui à tout. Jean (Zundel) a aussi utilisé ma platine vinyle pour récupérer un bon enregistrement des Musiques de la Honte, qui reste d’ailleurs le disque de Dazibao que je préfère.

Retrouver son travail 20 ans plus tard dans une boite en métal (je n’ai pas dit cercueil), cela fait quel effet?

JS: Si ! Tu as dit cercueil. En ce qui me concerne, et je signe cette interview en mon nom vu que le groupe n’existe plus depuis longtemps, c’est un cercueil. C’est une manière de clore proprement un sujet. J’aurais bien aimé mettre des textes explicatifs, raconter l’histoire un peu plus. Ca reste encore une fois un truc posé au milieu de nulle part. Mais c’était l’un des défauts de ce groupe, ne pas dire les choses. Ne faire que ce qui convenait à nous tous, avec droit de veto etc. Ca ne permet pas d’avancer, ni beaucoup, ni vite ni bien.

PB: Peu d’effet mais cela m’a donné l’occasion de revoir certains membres que j’avais vraiment perdu de vue.

Y aura-t-il une suite à ce coffret ? Nouvel album ? Concert ?

JS: Tant que Ian Curtis sera mort, pas de reformation même temporaire (rire).

PB: Pas à ma connaissance. D’ailleurs me concernant, je n’ai jamais su bien jouer d’un instrument et cela ne s’est pas arrangé avec l’absence de pratique.

Shems votre dernier album, date de 1991. Qu’avez-vous fait depuis comme activité professionnelle. Vous êtes resté dans le milieu musical ?

JS: Oui d’une certaine manière, puisque j

e suis associé dans une chaine de magasins de disques et de dvd.

PB: Je n’étais déjà plus là. J’ai arrêté toute activité musicale en 1994. Pendant les années 90, je suis resté très « branché », particulièrement sur la scène électro. Dans les années 2000, j’ai décroché. Je prends toujours plaisir à écouter de la musique, pas forcément rock, mais je ne me tiens plus à jour. Par ailleurs la programmation musicale à la maison est dictée par mon fils de 4 ans, qui ne jure que par Radio-Classique. Il me faut parfois des négociations très serrées pour écouter autre chose.

Revenons sur votre passé. Dans quelle circonstance vous êtes vous rencontré ? Quel a été le point déclencheur pour créer Dazibao ?

JS: Je voulais être bassiste et j’ai rencontré Pierre (synthé). Nous sommes allés au Quai de la Gare avec des gars, mais ils m’ont dit d’être chanteur. Puis un soir au Bleu Nuit, nous avons rencontrés Paul (Dufayet – batterie) et Jean (Zundel-basse) qui venaient de se faire lourder des Innocents, on a commencés Dazibao tous les quatre. Nous avions envie de faire un truc qui nous ressemblait. Nous avions envie.

PB: J’ai rencontré Jamil en 1982 dans un bar de nuit. Je voulais jouer  dans un groupe et lui aussi. Jean connaissait déjà Paul avec qui Jamil avait joué. La mise en relation entre les deux groupes de deux qui allaient faire quatre, puis cinq, mérite d’être contée. Nous avons été mis en relation par un ami commun à Jean et à moi, Maurice Drapier, qui jouait des instruments folk. Il a participé à certains enregistrements en studio. C’était un garçon très spécial que je connaissais de Bretagne et qui suivit quelque temps des études de théologie au séminaire d’Issy les Moulineaux. Il avait avant tout une grande curiosité intellectuelle. Je ne me souviens plus comment nous avons connu Jean-Luc (Téton-guitare à partir de 1984).

Pour quelle raison Dazibao a splitté?

JS: J’ai quitté le groupe, parce que j’en avais assez d’un certain nombre de choses. Je nous voyais smicard du rock à 50 ans. Je n’acceptais plus la démocratie dans le groupe. J’avais envie d’imposer mes vues aux autres, et je ne me voyais pas faire un coup d’état. Mon associé commençait à en avoir assez que je ne sois pas souvent là pour bosser, et c’est ce qui me faisait vivre. Entre les répétitions, les tournées, le travail, il fallait mettre un brassard avec « Papa » écrit dessus quand je rentrais à la maison. Il y avait des gens avec qui je n’avais pas forcément envie de passer du temps. C’était une structure assez lourde, et j’avais envie de faire de la musique sans devoir à chaque fois déplacer un bus et 3 tonnes de matos. J’étais jaloux de Jad Wio.

Pendant 10 ans vous avez transpiré et électrisé dans le paysage « rock en France ». Quel souvenir gardez-vous de ces années?

JS: C’était vraiment roots. On arrivait à faire des concerts dans des trucs pas prévus à cet effet, bar, etc. C’était la guerre tout le temps pour le son, le bruit, le matos, les sous. Il reste de bons souvenirs, des scènes vraiment marrantes, des gens super.

PB: Des bons souvenirs: des voyages, des rencontres, de la musique, de l’alcool, du sexe. Des mauvais souvenirs: les lieux pourris, les publics parfois squelettique. Comme pour d’autres grands engagements, bilan globalement positif.

Vous aviez entre autre joué dans le squat alternatif Pali-Kao. Quel souvenir gardez-vous de votre concert et du lieu mythique du rock alternatif?

JS: Celui de notre premier concert, la toute première fois. L’autre groupe qui faisait son premier concert ce jour là s’appelait les « Beruriers noirs ».

PB: Me concernant, c’était un lieu de concert, point. J’étais étranger à la mystique alternative comme engagement. Je crois que je ne me rendais même pas compte que tout cela pouvait paraître hors norme.

Vous aviez la particularité de chanter en arabe. Le rock en langue arabe n’était (et n’est toujours) pas très courant. Avez-vous eu des difficultés à chanter en arabe en France, et si oui quelles ont été les difficultés ?

JS: Non, pour chanter ça allait. Pour être compris c’était plus dur.  Je crois que ça faisait aussi partie des raisons pour lesquelles j’avais envie d’arrêter. Je ne me reconnaissais pas forcément dedans.

PB: Je ne me souviens pas de difficultés particulières. Comme beaucoup de français de l’époque, nous avions un problème avec le fait de comprendre directement les paroles dans le rock. Je crois que beaucoup de groupe chantaient en anglais, voir en yaourt uniquement pour cette raison. L’arabe était une solution plus élégante à nos yeux.

Le dazibao en chine est une affiche avec un propos politique. Dazibao était-il un groupe politique, un groupe engagé, et dans quel domaine ?

JS: C’était un groupe totalement désengagé. Pas de politique. Par contre certains des textes restent d’actualité. Atfali (mes enfants) par exemple parle de l’extrémisme religieux. Rdem traite de la misère. Pour le reste ce sont des textes qui parlent surtout du regard des autres, de ce que « tu fais ou pas par rapport aux autres ».

PB: Il faudrait demander à Jean qui avait pas mal poussé vers ce nom. Je crois qu’il en avait une interprétation assez conceptuelle et libertaire, un peu décalée par rapport à la réalité historique. Aucun de nous n’avait de goût pour le militantisme, mais le simple fait de choisir un certain mode de vie était aussi une forme d’engagement, peut-être même inconsciente.

Depuis la séparation de Dazibao il y a eu le drame du 11 septembre. Depuis cette date certains médiats/politiques essaient de créer la peur, une méfiance entre les catholiques et les musulmans. Quel regard portez-vous sur cette question éternelle : la peur de l’autre, la peur de ce que l’on ne connait pas ou mal ?

JS: C’est une aide à gouverner je pense. Je ne vois quand à moi aucune autre raison à l’entretien de la peur. Restez chez vous braves gens, trop dangereux dehors, restez devant la télé, on vous indiquera quoi faire heure après heure. Rien de nouveau sous le soleil…. Heu dans l’ombre je veux dire.

En relisant une interview de vous dans le fanzine Out Of Nowhere, vous dites au sujet de votre album Amok que « l’arabe est la langue dont les sonorités aident le mieux à décrire la folie, mais aussi le doute quand à la relative importance de certains actes, de certaines croyances, qui régissent plus ou moins nos vies ». Avec le recul (voir ce qui s’est passé le 11/09 à NYC), que pensez-vous de cette phrase « prémonitoire ? » ?

JS: Cela n’a rien à voir. Ce n’est pas parce que ce sont des « musulmans » qui ont fait des attentats que ce sont des Arabes. La langue Arabe ne perd rien de ses qualités sonore de ses qualités « d’expression ». Les attentats du 11 septembre, ont permis à un empire de continuer ses conquêtes, ce n’est qu’une caution à l’envahissement de l’Irak. Je ne crois pas que les attentats du 11 septembre aient quelque chose à voir avec quelques croyances ou la foi de qui que ce soit. Mais je n’engage que moi.

PB: Pour moi, la langue arabe n’était qu’un accessoire de la musique.

Quelle est la place de la foi, la croyance dans Dazibao ?

JS: Nous allions à la messe le dimanche et le vendredi à la mosquée, le samedi nous faisions Shabbat. Mais à tour de rôle.  Non, sérieusement, « Je suis Antireligieux fondamentaliste ».

PB: Aucune me concernant.

Votre musique dégage beaucoup d’énergie, une sorte de rébellion face au danger. Comment sont nées vos compositions? Ce sont des longues heures de réflexions ou au contraire, c’est très spontané ?

JS: On partait souvent d’une ligne mélodique ou rythmique, que l’un soumettait et on jouait dessus. Quand on arrivait à sortir quelques résultats de tout ça (en bœuf), on essayait de construire, en général un texte par-dessus. Puis on travaillait tout ça pendant des heures et des mois.

PB: Mon souvenir est une création toujours collective et spontanée, avec énormément de déchet lié à un processus de sélection ultra-démocratique.

Les médiats (TV, presse, radio), conversation avec des amis vous ont inspirés pour écrire vos textes ?

JS: Je ne sais pas quelle conversation ou histoire à pu m’inspirer, mais la plupart du temps c’était une accumulation de choses. Les textes traitent de sujets dans les grandes largeurs pas dans le détail. Plutôt des sentiments, la solitude, l’amour, ce que les cons peuvent faire au nom d’une idée, des gens qui parlent au nom de Dieu. Souvent de la manière dont les regards des autres peut faire évoluer ta vie dans un sens qui ne te correspond pas forcément.

Si vous deviez écrire un texte aujourd’hui, quel en serait le thème, le sujet ?

JS: Travail, Famille, Patrie. Mais j’en ai déjà fait un: « Allah elwatan el malik » (Dieu la patrie le roi) devise du Maroc. L’amour et comment le regard des autres n’influence plus ma vie.

SOS Racisme et le journal Libération, en réaction au projet de loi d’Eric Besson concernant les étrangers en France, viennent de lancer une pétition « Touche pas à ma nation ». C’est une bonne idée ?

JS: Je ne sais pas, je m’en fous un peu. Ils créent un mouvement pour sauver SOS Racisme? Mes gosses ont grandis, et contrairement à nous quand ils parlent de leurs potes ils ne disent pas « la black, la beur ou le feuj ». Je me dis qu’on fait bien du bruit pour des conneries de bobos bien pensants qui vivent dans des quartiers de riches. Moi je suis un bourge qui vit entre Vitry et Orly, je mets mes enfants dans les écoles laïques contrairement à eux, et je ne me pose pas ce genre de questions. Je m’inquiète pour les gars qui bossent et  gagnent 1200 euros par mois, qui n’ont pas de quoi vivre avec ça pour nourrir une famille. Je tremble pour les familles de handicapés qui touchent 600 euros pour s’en sortir et parfois élever des mouflets. Je me demande comment les gens font pour payer leurs courses avec leurs revenus, quelque soit leur origine ou leur couleur. Je me fous de la Nation d’Eric Besson, qui ne bosse que pour choper des voix au FN et je chie sur Libé et Sos mes couilles qui ne sont là que pour faire du blé (Libé) en donnant des leçons de morale à tout le monde et choper des voix pour le PS (Sos Racisme).  Et tout ces idiots en plus, ils n’osent même pas venir par chez nous (en banlieue) parce qu’ils ont peurs car c’est bourré de noirs et d’arabes.

PB: J’ai aussi des opinions là-dessus, mais sans rapport avec Dazibao. La situation actuelle a peu à voir avec celle des années 80. J’ai parfois l’impression que certains, de part et d’autre cherchent la guerre civile.

Revenons à la musique. Vous avez été sur le label New-Wave et vous avez plutôt été suivi par le public « new-wave ». Avec le recul cette musique vous correspondait-elle? Vous écoutiez quels styles de musique ? Vous étiez amis avec quels groupes à cette époque ?

JS: Amis avec peu de groupes. Il y avait Les Thugs. Nous écoutions tous des trucs différents, suivant les périodes de la chanson Française au « Rock » le plus violent. On a tous écoutés Joy Division et les Cure. Nous avons tous été touchés par le Punk. Je crois qu’on à tout écouté sur ces 10 ans.

PB: Amis avec personne, mais nous rencontrions régulièrement Jad Wio. Dans la seconde moitié des années 80, j’étais fan absolu du premier Jesus & Mary Chain. J’écoutais aussi Einstürzende Neubauten. Au début des années 80, il y eu pour nous tous Joy Division. A nos débuts fin 1983, alors que nous n’étions pas capables de jouer quoi que ce soit, nous fîmes une reprise de Joy Division (Something must break). Jean-Luc (Téton) n’étais pas encore là. Je suis en train de réaliser qu’à nos débuts nous n’avions pas de guitariste.

Et aujourd’hui, vous écoutez quels styles de musiques ?

JS: Cela fait des années que je n’ai pas eu de contact avec les autres membres du groupe, donc je ne sais pas ce qu’ils écoutent. Moi pendant 3 ans j’ai écouté un album de Manu Chao, 3 ans un album de Noir Désir, 3 ans les nocturnes de Chopin, 1 an Raul Paz, 2 ans Mika, 3 mois Muse. En plus c’est vrai, j’écoute un disque à la fois et assez longtemps.

PB: Quand j’échappe à Radio classique, j’écoute du Dub, de l’Electro et des musiques traditionnelles russes ou d’Asie centrale.

Au fait pourquoi ce titre de votre premier album Les Musiques de la Honte ? Ils en existent ?

JS: Parce que!  Le nom me plaisait.

PB: Ca je me souviens car je n’y étais pas pour rien, même si ce fut accepté par tous. A la base une forme d’auto-mortification dont nous avions le secret, et de refus face au « be positive » général qui commençait déjà à triompher. Pour tout dire, nous n’étions certainement pas des gens très simples, même entre nous.

Pour nos plus jeunes lecteurs qui ne vous ont pas connu dans les années 80, comment d’écririez vous votre groupe ? Votre style, votre philosophie.

JS: Quelqu’un  a dit Trash Raï, c’était marrant. Un mur de son sur scène, pour cacher l’horreur du néant. Je n’ai jamais pensé à ça. Ce n’était pas un concept. Pas de philosophie, un groupe de rock peut-être.

PB: Le style: je crois que, s’il n’y avait pas eu l’Arabe, on aurait pu nous comparer aux goths, en moins poseurs, plus énergique et plus détachés. Je crois vraiment que ce n’était pas facile de nous mettre dans une case, et ça ne nous a pas aidés d’un point de vue marketing.

Un message à rajouter ?

JS: Je regrette de ne pas m’être donné les moyens de faire ce qu’il fallait pour être capable de mettre le petit escabeau pour permettre aux gens de mieux nous atteindre. Je regrette de ne pas avoir plus bossé la musique. Ca fait un peu ancien combattant, mais il a fallu 10 ans pour faire un bon groupe et quand nous y étions, j’étais fatigué. Voilà le message: « si tu veux faire de la musique, bosse 8h par jour mini dessus dans le bons sens et ça devrait aller ».

PB: Ce qui me vient à l’esprit est lié au groupe. Quand j’ai vu le film « Lost Control » sur l’histoire de Joy Division il y a deux ou trois ans, je n’ai pu me retenir de pleurer en sortant. C’était trop proche de ce que nous avions pu vivre, de ce que vivaient en fait plus ou moins tout les groupes de l’époque. C’est un portrait parfait de l’état d’esprit de ce milieu à cette époque.

Paskal Larsen

« Complete works 1983-1993 »
4CD +box (Infrastition)

www.myspace.com/dazibaomusic

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Une réponse à Dazibao

  1. Maurice dit :

    Voilà un message du joueur d’épinette hongroise, de bombarde et autre bizarreries austro-fino-croates
    J’ai bien aimé cet entretien entre toi Jamil et Pierre qui restitue si bien l’esprit Dazibao et les engagements et les contradictions. Si j’ai fait le lien avec Jean Zundel, j’ai aussi été un peu comme une comète ou un spoutnik dans l’histoire du groupe et si je me souviens bien n’ai fait qu’une dizaine de répétitions notamment au Quai de la Gare et un seul concert – au Rex Club. Mais je reconnais bien les décors, et les références culturelles; et même si j’avais d’autres influences – théologiques entre autres comme le mentionne si bien Pierre j’ai trouvé ma voie ailleurs que dans la théologie -Dieu merci!; un peu comme il en a été pour vous pour la musique, je crois. Sans nostalgie. Je bosse comme conseiller en environnement sur des projets internationaux, principalement en Asie du Sud Est. Mais je sais que j’essaierais de trouver ce coffret épitaphe. Et que je l’écouterais en pensant à ces années qui ont compté aussi pour moi. Bien amicalement à toi Jamil et à Pierre aussi.

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